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 Arthorius...

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Kuchiki Byakuya
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Kuchiki Byakuya


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MessageSujet: Arthorius...   Arthorius... Icon_minitimeMer 18 Juin - 8:46

Voila ton sujet...

Nom: Une guerre sainte
Description: Nous somme en 1780 et tu es un puissant chevalier qui possède une épée divine, créer par un mage légendaire. Durant cette époque, deux royaume se dispute le droit de contrôler le monde. Ils sont en guerre depuis déjà 100 ans. La guerre faisait rage jusqu'au jour ou toi tu apparaît devant eux. Ton objectif est de mettre fin à cette guerre sachant que tu n'appartient à aucun des deux camps. Après plusieurs jour de combat tu y parviendra en devenant le nouveau roi de ses deux nation.
Ton personnage: Le nom de ton personnage est libre. Tu porte une armure de couleur or, donnée par le mage qui ta remit cette épée.
Le mage: Il faut savoir que le mage n'est en fait qu'un dieu qui fut exilé jadis du royaume des dieu pour un raison que l'on ignore, mais il ta recueillie lorsque tu avait 10 ans, (raison libre) il t'a entraîné et ta offert cette arme pour que tu mette fin à la guerre.
Ton épée: Elle porte le même nom que le mage, (libre) et possède des pouvoir mystérieux que même toi tu a du mal à utiliser. Elle est semblable à une arme de chevalier, mais porte la marque des dieu au niveau du manche. Sur la lame se trouve une inscription écrite par les dieu et visible que par les humain.

Bonne chance...
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MessageSujet: Re: Arthorius...   Arthorius... Icon_minitimeVen 27 Juin - 16:12

voila la première partie la suite arrive ^^
je tiens à signaler que j'ai fait dans un monde qui n'est pas le notre ( quelques détails le montreront )

Une guerre sainte


Dans un village éloigné de tous, un village comme tout les autres, un village qui avait néanmoins une différence, celle d’avoir de nombreux fiers et courageux combattants dont la puissance avait plus d’une fois prouvé. Dans ce village, tous vivaient paisiblement, chacun vivait comme il le voulait, les hommes ainsi que les adolescents s’entraînaient au corps à corps, essayant de maîtriser une arme à la perfection car oui, à l’âge de 15 ans, chaque homme ( qui n’en était pas encore un u_u ) choisissait une arme, une arme qui le suivrait tout au long de sa vie, nom pas une arme précise, mais une arme telle que l’épée, la lance, la hache, l’arc, le bâton et tout ce qui pouvait servir d’autre au cours d’un combat. Bien sur il n’existait pas qu’un seul type d’arme pour chaque « style » de combat, des lames droites, courbes, inversées, des doubles lames … tout ce qui était bon pour combattre, car en réalité ce village était un village indépendant et certains le redoutait mais d’autre le convoitait … Chacun devait donc assuré la défense de ce si doux village au péril de sa vie, et on peut le dire, cette volonté était présente dès la naissance.

Pourquoi vous parlez de ce village ? Mise à part ses fiers guerriers ? Il n’y avait rien d’autre, mais ce n’était qu’un village parmi tant d’autre dans ce monde divisé un deux par une guerre qui ne faisait que trop duré. Une guerre pour un pouvoir total, autant dire une futilité aux yeux d’Arthur, mais qui était cet Arthur ? Non ce n’était pas un pèlerin parcourant le monde en notant tout ce qu’il découvrait dans des manuscrit, non il n’était pas un soldat parcourant les plaines à la suite d’un ordre quelconque, il n’était qu’un simple enfant, oui certains diront donc qu’il était trop jeune pour savoir exactement le sens de la vie et la « culture «  des plus anciens ( sa fait un peu vieux dit comme ça >.> ) mais pourtant tous le diront, Arthur avait un grand esprit et était bien plus sage que certains et avait une grande connaissance, pourtant, il avait beau être un élève sérieux et ouvert posant des questions bien intéressante, certaines ne l’aimait pas et certains le considérait même comme un détritus pour le village. En effet, il n’était pas très doué pour les combats, en même temps il n’avait alors que 8 ans quand on le considérait encore comme une simple fillette sans aucune force. Plus d’une fois il s’était senti rejeté, mal aimé mais pourtant il n’avait versé aucune larmes, se moquant presque des pensées d’autrui et restant dans la solitude puisqu’il semblait gêné les autres, une autre preuve de son calme habituel et de sa sagesse.

Certains pourrait penser que ce village n’était fait que de barbare qui tapaient sur tout le monde, mais pourtant c’état faux, dans ce village se trouvaient quelques personnes non combattantes qui s’occupaient de la culture générale, des valeurs, des principes de la vie et tout le reste, même si beaucoup ne suivait ce qu’ils voulaient, enfin bref. Cela faisait maintenant 9 ans que Arthur menait cette vie, une vie presque de sage à la recherche de la vérité sur le monde. Il aimait cette vie et ne s’en déplaisait pas, dans aucun cas il ne la regrettait pas et ne se plaignait jamais. Même si parents se demandaient pourquoi leur fils était plus un « sage » qu’un combattant, mais même s’ils se le demandaient, ils ne le repoussaient pas et l’acceptaient aussi bien que son frère qui lui était un as dans le combat aux couteaux. Arthur admirait d’un certains côté son frère, lui qui était si brillant, lui si courageux et brave, un combattant hors pair qui était l’un des meilleurs combattants du village. Tous le voyait comme l’un des 5 chefs de guerre, ces chefs de guerre qui décidaient quand ils devraient aider des peuples et village, mais aussi par quels moyens ils devaient combattre et gérer le village, en clair, c’étaient les personnes les plus importantes. Arthur était content pour son frère, lui qui était parfois si dur avec lui mais pourtant parfois si gentil …. Longtemps il avait espérer être comme lui, jusqu’au jour où on lui dit qu’en réalité, il était aussi bon que lui mais dans une autre capacité, son frère la force, lui la réflexion ….

Ses choses se passaient ainsi lorsqu’un jour, une armée assez folle pour vouloir attaquer le village arriva non loin de ce village, l’encerclant. Une armée bien plus importante que cela n’y paraissait pas loin de deux milliers d’hommes face à ce village qui n’en comptait que quelques centaines et encore la moitié était des femmes ou des jeunes enfants encore incapables de se battre. Malgré tout, chaque combattant se préparait à l’affrontement, revêtant leur plus belles armures pour certains et leur équipement pour d’autre et même leur plus belles arme, une arme qui n’avaient que peu voire jamais utilisé. Le village n’était pas envahi par la peur, mais par une volonté de combattre immense, prêt à tout donné prêt à subir chaque assaut de leurs adversaires, ils étaient prêts.
L’armée d’en face, elle, composée des meilleurs fantassins, archers, cavalier, composée également de catapulte et d’arbalète géante, des engins d’assaut prêt à tout détruire sur leur passage. Des armures rouges sanglantes, des casques recouvrant tout sauf les yeux et la bouche, des épées à la ceintures ou un carquois au niveau du dos, tous étaient prêt à exterminer ce village. Mais d’où venait cette armée composée de tant de soldat ? La réponse était claire, l’un des seigneurs des deux royaumes qui s’opposaient depuis trop longtemps. Et grâce à ce drapeau, cet étendard qui représentait très bien ce royaume, le village savait déjà qui était l’auteur de cette attaque : le surnommé Dante, roi de Rivendhel, royaume dont les hommes portaient des armures rouges, occupant principalement le sud du monde. Les deux armées s’observaient, l’armée confiantes de leur surnombre d’un côté et les combattants confiant de leur maîtrise de leur arme et de leur bravoure. Les deux camps s’observaient un moment, la tension était là et ne tarderait pas à diminuer dans un bain de sang.
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MessageSujet: Re: Arthorius...   Arthorius... Icon_minitimeVen 27 Juin - 17:59

Un silence pesait, un trop long silence qui faisait monter le stress dans les rangs de l’armée et la sueur perlait sur le front. C’était sous un dur soleil d’été que le combat allait se passer, et malgré les quelques bourrasques d’air frais, la chaleur restait dur à supporter pour certains. Le vent faisait claquer les étendards et parcourait la plaine dans laquelle se trouvait le village, une plaine suivie d’une haute falaise donnant sur une montagne. Cet attente semblait trop longue pour les combattants, pourtant cela ne faisait que quelques secondes, voire quelques minutes peut-être que cela se déroulait. Les combattants du village crièrent, faisant remonter leur moral et leur bravoure ils chantèrent, une légère « hymne » qui faisait regagner la confiance dans le cœur de chacun, le moindre doute partait des esprit et tous attendait cette armée bravement accompagné de leur hache, sabre, lance et autre armes. L’armée d’en face, ne put que frapper leur bouclier avec leur lance, ça oui, chaque fantassins était équipé d’une lance et d’un glaive. Le fracas du bois résonnait dans la plaine, mais pourtant aucune crainte ne se sentait.

Un ordre fut donné du côté des fantassins et une première ligne suivie rapidement d’une deuxième se lança à l’assaut. Des cri sortaient de la gorge des fantassins passant à l’assaut et courant la distance qui les séparait. Quelques derniers petits conseils sortaient de la bouche des villageois et aussitôt une formation se dessina. Lanciers en première ligne, ceux qui possédait une hache derrière, les épéistes ou sabreurs juste derrière et enfin les autres, ayant couteaux, bâton .. Juste devant les archers qui commençaient déjà à tirer prenant non pas une flèches mais trois pour certain et cinq pour d’autre faisant alors bien plus de dégâts dans les rangs ennemis. Dès alors, les deux premières ennemis étaient bien moins nombreuses et il ne leur fallu que peu de temps pour laisser leur corps sans vie gisant sur le sol. Une seconde vague arriva et elle finit alors comme la première, celle-ci suivit d’une pluie de flèche qui finalement n’eut aucun effet et ne rencontra que des boucliers. Vint ensuite une horde de cavaliers, qui finalement ne put que faire que quelques morts dans les rangs des villageois qui au final s’étaient très bien sorti de cet assaut. D’autre lignes de fantassins arrivaient les unes après les autres toujours plus nombreuses, mais toutes semblaient ne donné aucun résultat. Mais voilà donc que soudainement l’ennemi se pris la peine d’utiliser leur catapulte et arbalètes géantes. Cette fois-ci, la difficulté était plus grand, éviter ces pierres et ces flèches géantes destructrices, cela était encore faisable, mais pas quand des soldats arrivaient en même temps en étant kamikazes ….. De nombreuses pertes se firent ressentir dans cet assaut ravageur. Des corps écrasés, pourfendus, décapités, transpercer ….. L’assaut semblait finalement s’arrêter un moment.

Les combattant décidèrent d’aller à l’assaut pour détruire ces machines infernales, fonçant dans le tas, ne se préoccupant que des adversaires juste devant eux, il parvinrent à réduire tout ces catapultes à néant et même la moitié du reste des soldats. Mais dans cette armée ennemi, que restait-il ? Quelques officiers supérieurs et quelques soldats …. Face à cet troupe restant de guerriers sans peur apparente, ils ne purent faire que trembler ayant peur de la mort qui ne tarderait pas à mourir. La victoire semblait bien appartenir aux villageois, un exploit venait de se faire et la légendaire réputation continuait, une vaillance au combat d’une grandeur inégalé. Mais alors que tout semblait perdu pour les survivants de l’armée attaquante, un cor résonna, fort bien ressemblant à celui du royaume d’Étendhel une armée généralement en bleu foncé, un bleu pouvant presque représenter la nuit. Une armée composé principalement composé de lancier, du moins à ce que semblait voir le reste des deux autres armées. Les villageois décidèrent de rentrer aux villages, devant cette immense armée, bien plus importante que celle de Rivendhel, il ne pouvait pas faire grand chose et ils le savaient bien, c’est donc, non pas poussé par la peur mais poussé par la survie et par l’intelligence qu’ils rentrèrent aux village en courant. Une fois arrivé il demandait à tous de fuir, fuir cette armée encore plus barbare que la première, cette armée contrairement à la première, n’aurait pas hésité à réduire en esclavage tout les habitants même les plus jeunes. Mais l’armée déjà sur eux, les arrêtait tous, coupant même une jambes s’il le fallait, seul un villageois put s’en réchapper, non ce n’était pas Arthur mais son frère. Arthur lui était parti du village faire un tour derrière la falaise, loin dans le chemin rocheux allant vers les montagnes, sauf un petit chemin secret donnant sur un lac, endroit où était aller Arthur.

Arthur, seul adolescent sorti du village pour méditer et rester loin de tous était en train de revenir après de longue heure assis devant le lac à ne rien faire, lui qui rentrait tranquillement au village presque joyeusement, vit son frère en sang sur le bord du chemin, les yeux fermés et tenant fermement son couteau, le seul couteau qu’il avait pu garder dans cet fuite afin de prévenir son jeune frère qui n’avait encore que 9 ans et demi. Arthur se précipita sur lui dès qu’il le reconnu demandant ce qu’il s’était passé et pourquoi il était dans cet état. Son frère le voyant eut d’abord un sourire puis finit par dire difficilement :

Tu était donc là … Le village a été détruit, tu es le dernier survivant.

Arthur n’en croyait pas ses oreilles, ce village pourtant si paisible et neutre, détruit, il ne pouvait demander par qui, il s’en doutait déjà si ce n’était pas l’une c’était l’autre armée, des larmes coulèrent doucement, tous étaient mort, son père, sa mère, ses « amis » ses jeunes adolescent du même âge que lui, sa voisine, son chien !! *sbaff* mais pourquoi avait-il dernier survivant, son frère était lui. Il le lui dit d’ailleurs mais son frère l’attrapa le col et le rapprocha de lui après avoir recracher un peu de sang, un air beaucoup moins gentil s’affichait sur son visage, on pouvait presque croire qu’il était énervé et qu’il en voulait à son frère :

Ne sois pas bête, je vais bientôt mourir. Pourquoi n’es-tu pas devenu un combattant comme tout le monde ? Pourquoi as-tu préféré être un de ses sages qui préfère observer le monde ?

Arthur ne put qu’être surpris face à ce que venais de dire son frère, son frère aîné, plus vieux que lui de sept ans, ces sept ans qui avait fait toute la différence entre eux. Le jeune frère ne put s’empêcher de laisser quelques autres larmes pleurer, pour la première de a vie il pleurait, devant le corps mourrant de son frère et sachant la fin de son village, voilà les conditions dans lesquels il pleurait. Son frère recracha un peu de sang et pousser à nouveau pas un agacement, il continua en lui disant :

Arrête de chialer ! Tu dois vivre et garder la fierté et la bravoure de tout notre village. Vit et porte ce fardeau de perpétuer la légende de notre village, que cette cicatrice soit la preuve de ton fardeau.

Aussitôt, il leva sa main droite et avec son couteau, fit une profonde entaille dans la joue d’Arthur, une blessure qui allait laisser une cicatrice à vie sur la joue du jeune survivant, maintenant on pouvait le surnommer ainsi car son frère venait de rendre son dernier soupir. Arthur s’abattit sur le corps sans vie de son frère explosant en larme et restant ainsi de longues minutes. Il avait tout perdu, sa famille, les personnes importantes de son village et même ses amis car lui les considérait ainsi. Malheureusement il ne put tarder plus longtemps car quelques soldats avaient vu fuir son frère et semblait vouloir le retrouver. Arthur prit le couteau et parti vers les montagnes, larmes aux yeux et totalement effondrés par la solitude qui venait à peine de commencer ….

.......
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MessageSujet: Re: Arthorius...   Arthorius... Icon_minitimeVen 27 Juin - 22:29

Arthur marchait donc sur le chemin rocailleux menant vers les montagnes enneigés menant à une petite ville en marchant un peu, un peu beaucoup même, quelques kilomètre tout au plus, en fait il n’en savait rien, il n’était jamais aller par là-bas, trop jeune et sans expérience pour les montagnes. Mais cette fois il n’avait pas le choix, les montagnes ou quelques milliers de soldat tout armé et prêt à tuer le jeune survivant. Un choix pas difficile à faire même si la montagne était un dur chemin, il avait au moins une chance de survivre. Il marchait donc doucement, recouvrant sa plaie à l’aide de sa main gauche et tenant le couteau de sa main droite, il était sur ses gardes et observait le moindre mouvement aux alentours, il n’avait jamais été par ici et était dans l’inconnu total. Il longeait un petit chemin rocailleux et peu emprunté, très peu même, les parois étaient grandes et semblait être prête à ensevelir Arthur à tout moment, devant lui, le chemin menant lentement à la montage, derrière lui, un chemin semblable à celui de devant mais menant au corps sans vie de son frère.

Au bout de deux longues heures de marches et de surveillance constante, il arriva à ce que l’on pouvait nommer le pieds de la montagne. La neige commença alors à tomber doucement ( hasard ? ) et un vent bien froid se levait faisant frissonner Arthur. Il n’avait qu’une simple veste et avait peur qu’il meurt de froid, mais bon il n’avait pas le choix. Il avança donc, suivant un petit chemin, si petit qu’une seule personne pouvait passé à la fois, un chemin étroit obligatoire et prêt à s’écrouler sous les pieds de voyageurs. Le rescapé marchait en en regardant que là où il mettait les pieds, essayant de se redonner du courage en chantant un petit air de famille, une chanson qu’il avait souvent entendu, cette chanson que sa mère lui chantait lorsqu’il était petit. Cela lui ramenait des souvenirs et par la même occasions quelques larmes qui semblaient rapidement se refroidir, il les essuya avant de se tenir les bras essayant de se réchauffer un peu. Les heures passaient et il trouva finalement une petite grotte, un tout petit endroit où il pouvait s’abriter le temps de dormir un peu. Il y trouva un peu de bois sec et puis donc faire un petit feu pour d’une se réchauffer et éloigner les bêtes de la nuit. Il s’endormit donc assez rapidement et dormi d’une nuit difficile repensant aux évènements de la journée.

Il se réveilla finalement le matin lorsqu’il entendit des bruits de pas, était-ce un soldat de l’armée responsable de la destruction de son village ? Non il n’y avait aucun bruit d’armure ni d’arme. Il se mit en garde, non combattant il tenait mal son couteau et cela se voyait, un homme se dessina sur la lumière, un colporteur, qui vendait de tout. Ils parlèrent un peu, Arthur appris que ce colporteur allait vers son village mais vu qu’il n’existait plus il prendrait un autre chemin, il venait de traverser les montagnes et apprit beaucoup de choses à Arthur. Il lui proposa de prendre une fourrure pour passé les montagnes, sachant le vécu de l’enfant il ne lui fit pas payer, même par ce couteau. Une longue heure après le jeune rescapé se remit en route fourrure sur le dos et prêt à traverser ces montagnes enneigés. Il marchait donc et voyait la neige lui arriver jusqu’aux cuisses, il était bien dur de marcher, mais pourtant il ne perdait pas espoir, il avançait tant bien que mal dans cette neige si froide.

Il se passa tellement de temps, ces montagnes étaient bien grandes et les chemins empruntés étaient si long et semblaient presque tournés en rond, voilà maintenant 6 mois qu’il tournait dans ces montagnes, il avait déjà affronté un loup et rien d’autre, il avait eu de la chance d’avoir ce couteau qu’il avait malheureusement perdu … Il l’avait perdu lorsqu’il se faufilait sur un sentier peu rassurant et encore plus étroit que les précédents. Donc heureusement pour lui qu’il n’avait pas rencontré d’autre bêtes sauvages. Il avait repéré déjà quelques grottes mais n’avait rien mangé depuis une bonne semaine, depuis le moment où il avait perdu son couteau en fait … Et depuis maintenant deux jours, un violent blizzard occupait le sommet des montagnes et la fourrure du jeune errant n’avait presque plus d’effet … Il marchait donc dans la neige essayant tant bien que mal de trouver son chemin parmi ce vent violent et cette neige gelé. Exténuer il finit par s’écrouler dans la neige, épuiser et mort de faim, il n’en pouvait plus et savait qu’il allait mourir, mais un souvenir lui remonta à la tête, son village, cette cicatrice, il ne pouvait pas abandonner, il se força à se relever, ce qu’il put faire, il fit un pas, puis un autre et ce n’est qu’au bout de deux mètres qu’il s’écroula à nouveau dans la neige, malgré tout ces effort il ne pouvait pas le faire, tant de mois passés dans cette neige l’avait tué à petit feu, il n’avait plus de force et ferma finalement les yeux attendant sa fin. Au moment où il ferma les yeux, il s’endormit …

Du temps passa, Arthur n’aurait su dire combien de temps, une heure ? Une journée ? Une semaine ? Un mois ? Il n’en savait rien. Il sentait la chaleur, un feu de cheminée, de la fumé de pipe, il ouvrit les yeux et voyait une lueur rougeâtre, au dessus de lui une étagère remplie de livre, il tourna les yeux vers la gauche et vu donc un mur, tournant dans l’autre sens pour regarder vers la droite, il vit une cheminée, une table sur le côté un peu plus en haut de sa vision ( donc en diagonale u_u ) un homme assis en train de lire un livre en fumant la pipe, voilà donc les explications à ce qu’il avait senti. Il se leva donc doucement à la limite du cognement contre cette étagère un peu basse. L’homme assis le vit et lui parla :

Tu es enfin réveiller ? Voilà deux semaines que tu dors jeune homme.

Arthur se retourna alors, il ne savait pas pourquoi il avait sentit un sourire lorsque cet homme avait parler. Il observait encore la pièce, cette unique pièce, une pièce avec une fenêtre et une porte, rien d’autre, quelques meubles, c’était une simple maison mais une maison accueillante. Il regardait l’homme qui lisait quand soudain son estomac cria famine, un bruit vint rompre le silence qui pesait. Il regarda son ventre rouge de honte, l’homme ferma alors son livre, le fermant rapidement et le regarda souriant, il lui dit :

Et bien mon garçon il semblerait que tu es faim, viens donc prendre un peu de bouillon

Le jeune rescapé le regarda étonné avant d’accepté doucement. Il vit cet homme, un vieil homme, des cheveux longs et blanc comme sa barbe, vêtu d’une toge sale à présent grise, il dégageait un certain savoir, une sagesse que personne n’avait. Arthur se leva doucement observant doucement le bouillon et finit par s’asseoir en face de ce vieil homme pour commencer à manger. Au cours de ce face à face, ils parlèrent peu, du moins l’homme parlait peu, en réalité il n’avait que poser une question, cette question demandait le passé de ce jeune enfant qui venait d’avoir 10 ans lors de ses deux semaines de sommeil. L’enfant répondait doucement en mangeant, il n’avait oublié aucun détail et avait même raconter le moment avec son frère. A la fin de cet narration, le vieil homme le regarda et finit par lui dire :

Tu as l’air intelligent, je peux te prendre comme apprenti et t’enseigner les secrets du monde
Non je ne veux pas apprendre tout cela, il me faut connaître la maîtrise des armes, tout les secrets pour devenir le meilleurs guerriers

Une réponse claire et précise de la part d’Arthur, il ne pouvait pas découvrir le sens de la vie, le secret du monde, devenir un sage ou un mage, non il devait devenir un combattant, l’un des meilleurs non ! Le meilleur, le meilleur de tous, il le devait pour son frère, ses parents, ses amis et son village, sa cicatrice était là pour le lui rappeler et il ne mourrait pas tant qu’il n’aurait pas accomplit ce qu’il devait faire. Le vieil homme sourit un moment avant de dire :

Et bien c’est décidé, je t’apprendrais tout ce que je sais sur l’art du combat

Arthur sourit un long moment, ce vieil homme acceptait de l’entraîner, mais comment allait-il le faire ? Dans cette maison il n’y avait pas grand chose et il se demandait s’il allait pouvoir lui faire maîtriser une arme. Il allait finalement se reposer sous le conseil de son tuteur, oui maintenant il le reconnaissait comme son tuteur, mais avant de dormir, il se demandait quel arme était son arme de prédilection, chaque homme était plus doué pour une arme, laquelle était l’arme de prédilection pour Arthur ? Sabre ? Hache ? Couteau ? Arc ? Lance ? …… Il finit par s’endormir sur cette question.


( voila j'en suis un peu près à la moitié peut-être un petit peu moins u_u )
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MessageSujet: Re: Arthorius...   Arthorius... Icon_minitimeMar 1 Juil - 19:24

je veux bien continuer mais je voulais savoir si j'étais forcé de continuer vu que je sais pas si les autres concurrent ont fait un truc donc .... merci de me le dire u_u
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MessageSujet: Re: Arthorius...   Arthorius... Icon_minitimeVen 4 Juil - 0:32

Je dirais pour ma par, que pour le moment tu n'a pas fini le poste car le but est de réussir à arrêter cette guerre, mais pour le moment les autres non rien fait dit toi que de cette façon tu aura bien plus de chance de gagner la récompense^^
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MessageSujet: Re: Arthorius...   Arthorius... Icon_minitimeVen 4 Juil - 10:11

ok ok donc jvais continuer =)
date de sorti du prochain post : samedi ou dimanche u_u
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MessageSujet: Re: Arthorius...   Arthorius... Icon_minitimeSam 5 Juil - 12:08

Le lendemain il se réveilla doucement, voyant la porte ouverte laissant la lumière du soleil éclairer la seul et unique pièce de cette petite maison. Il regarda un peu autour de lui, n’étant pas encore habitué à cet endroit et vit sur la table un petit mot avec un morceau de pain et une boisson dont Arthur ignorait son existence. Il allait voir et on pouvait y lire ce mot : Mange vite et rejoins moi vite dans la clairière sur la gauche de cette maisonnée. Arthur mangea donc rapidement et finit par sortir, devant d’abord s’habituer à la lumière du soleil, ses yeux dans la pénombre depuis trop longtemps devait s’y habituer de nouveau. Il regarda autour de lui, à gauche, les arbres menant surement à la clairière, devant lui, un chemin qui menait à une route surement plus fréquenté et à droite, un bord de falaise duquel on pouvait voir les montagnes. Le jeune garçon ne perdit pas de temps et fonça droit dans les arbres bordant la clairière, il ne lui fallut que très peu de temps pour arriver et voir devant ses petits yeux une clairière ronde entouré d’arbres tous plus fleurissants les uns que les autres, en son centre une pierre, un rocher et dessus le vieil homme, celui qui venait de sauver la vie à ce jeune enfant. Ce dernier s’avança toujours en courant un peu moins vite et finit juste devant le vieil homme assis en tailleur et avait devant lui pas moins de dix armes, toutes plus belles que les autres, du moins pour Arthur, certains les aurait trouver banal. Il entendit le voix du vieil homme lui dire :

Bien je t’attendais. Choisit l’une d’entre elle. Mais choisit bien, suit ton instinct et il te mènera à ton arme de prédilection.

Arthur le regarda un moment puis reporta son attention sur ces armes, il vit un couteau et allait le choisir puisqu’il pensait que ces long mois l’avaient aidé à mieux la contrôler et donc cela raccourcirait l’entraînement, il allait la prendre quand il regarda le vieil homme assis sur son rocher, celui resta impassible, n’ayant aucun sourire, en fait aucune expression de ne se dégageait de son visage. Il reporta donc son attention sur les armes, voyant sa main qui allait se poser sur les couteaux il se stoppa, réfléchissant un instant, il regarda à sa droite et vit une lance, il ne compris pas pourquoi, mais il se sentait bien plus attirer par la lance que par les couteaux, il prit donc la lance et dit d’un ton déterminé :

C’est la lance que je choisis
Ne serais-ce pas plutôt la lance qui t’a choisis ?

Sur ces mots le vieil homme souris, ce qu’il venait de dire avait semblerait-il perturbé le jeune garçon qui regarda étrangement la lance avant d’entendre le vieil homme rire d’un joyeux air, le garçon ne tarda pas à le suivre et la clairière fut animé de quelque rires. L’entraînement allait donc commencer, le vieil homme lui enseignait les bases, la portée de son bras et de sa lance, les inconvénients d’un coup, les avantages, ses faiblesses, ses points forts ….. Arthur était un bon élève et semblait retenir tout ce qu’on lui disait. Il apprit vite les bases et en effet, cela semblait évident que la lance était son arme de prédilection. Les jours passèrent donnant ainsi des semaines et celles-ci devenaient des mois …

Un réalité voilà maintenant deux ans que Arthur était sous la tutelle de ce vieil homme dont il ne connaissait toujours pas le nom. Mais il s’en moquait peu, il l’appelait « maître » et cela suffisait. Il n’avait jamais quitter la maison, cette toute petite maison et ne vivait qu’au dépend des cerfs et des lapins, l’eau puisé d’une rivière non loin de cette petite maison et le temps passait à l’entraînement. C’était en somme une petite vie paisible et agréable pour Arthur qui aimait bien vivre ainsi. Mais voilà qu’au bout de ses deux ans son maître lui apprit une nouvelle, toujours dans la clairière, sur son rocher, il lui appris que dès à présent il n’utiliserait plus de lance mais l’épée, pourquoi ce choix, il n’avait rien préciser à ce sujet, il disait juste que c’était le mieux pour lui, malgré le fait qu’il maîtrisait déjà très bien la lance. Néanmoins il avait confiance en son maître et changea d’arme, s’entraînant encore pour être aussi bon qu’à la lance, non, il voulait être encore meilleur. Redoublant d’efforts et de courage il lui fallut encore 2 ans pour être au même niveau.

Alors qu’il venait d’avoir ses 15 ans, son maître lui apprit qu’ils allaient maintenant voyager un peu. Voyager … Arthur en avait toujours rêvé, surtout quand il lisait les livres qu’il y avait sur le haut de l’étagère. Il avait maintenant une épée, accroché dans le dos, en réalité c’était plutôt un katana, la garde avec des losanges blancs sortant du noir profond du reste de la garde, une garde carré noir et une lame assez grand presque plus grand que le bras d’Arthur, un katana qui magnifique aux yeux de ce jeune enfant combatif. Son maître habillé d’une longue toge grise, un bâton comme appui et lui, habillé d’une veste sans manche noire et d’un pantalon recouvrant de petites botte de la même couleur que le haut et enfin, des protèges poignets de la même couleur que tout le reste. Ils avancèrent donc vers la route qui menait à la ville la plus proche dans un voyage bien silencieux. Mais dans la tête d’Arthur rien n’était silencieux, il se posait trop de question, comment c’était les villes, les personnes, comment allait-on le regarder le considérer, il était rare de voir un enfant de 15 ans avec un sabre aussi long. Il avait une pointe d’excitation mais aussi de stress dans ses mouvements, le vieil homme le regarda et lui sourit l’invitant à se calmer. L’enfant essaya tant bien que mal, mais ce n’était encore qu’un enfant, et finalement tout deux partirent à l’aventure et découvrir de nouveaux horizons pour le garçon.

Voilà maintenant deux bonnes heures que les deux, maître et disciples, marchaient en direction du sud, sur un petit chemin assez rocailleux et assez difficile pour les chariots et tout le tralala avec des roues. Enfin bref, un vent léger s’était levé et venait et repartait sans jamais s’arrêter. Ils virent enfin la ville de destination et sans s’arrêter continuèrent d’avancer. Le chemin était long mais calme, au moins il ne fallait pas se plaindre, il n’était pas long et agité … Arrivé à seulement quelques mètres, le vieil homme ne tarda pas à donner quelques conseils à Arthur sur son comportement en ville. Arthur écoutait et approuvait montrant que d’une il avait compris et que deux il le ferait.

Ils arrivèrent donc dans cette ville bien animée, chariots de commerçant, soldat en armure rouge, magiciens habillé en blanc, des simple habitants tous différents et tous si bien dans cette ville. Arthur ne faisait que tourner sa tête dans tout les sens suivant néanmoins son maître restant juste derrière lui, l’un de ses conseils. Il vit arrivé un homme plutôt grassouillet venir parler à son maître, il devait bien se connaître car ceux-ci riaient de bon cœur, les deux voyageurs furent invité chez ce même hommes pour prendre un bon repas et prendre des nouvelles du mage, car oui, terrible nouvelle, du moins grande nouvelle, son maître était un mage, cela expliquait de nombreuses choses, Arthur n’en croyait pas ses oreilles, son maître un mage ? Il en avait appris long sur son maître et en apprendrait surement encore durant de nombreuses années. Laissant un peu seul les deux hommes, il alla dans le jardin, du moins non en fait c’était une sorte de salle sans plafond avec du sable pour sol, il vit une autre personne, un adolescent apparemment plus vieux que lui, lui en revanche était armé d’une lance, l’ancienne arme qu’Arthur maniait. Ce jeune homme lui lança un défi, un duel, un contre un, le sabre d’Atrhur contre sa lance, le perdant devrait donner ce que le vainqueur voulait, autant dire que cet adversaire voulait le sabre d’Arthur. Ce jeune homme provoqua donc et Arthur ne put qu’y répondre. Dégainant donc, les deux opposants se regardaient et le premier se lança, Arthur connaissait tout de la lance, et n’avait donc aucun problème à esquiver ou parer chaque coups.

Le combat évoluait et les deux responsables des deux enfants, surpris par le bruit d’un combat, allèrent voir les deux jeunes combattants, le responsables de ce dénommé Hector, c’était son nom donné par cet homme grassouillet, voulu les arrêter mais il fut stopper par le maître d’Arthur en lui disant que cela ne pouvait que leur faire du bien, c’était un premier affrontement pour son disciple et donc l’un des meilleurs moyens de savoir son niveau comparé au reste du monde. Approuvant son idée il observa son disciple et observait le déroulement du combat.

Cela se voyait à coup sur, Arthur avait l’avantage, connaissant le temps entre chaque coups selon la portée et la puissance, connaissant chaque point fort ou point faible et exploitant ce savoir pour ainsi contrer ou attaquer son adversaire. Le combat ne dura que quelques minutes quand Arthur désarma son adversaire après une excellente parade. Les deux maîtres applaudirent les félicitant, c’était un beau combat surtout venant de si jeunes combattants. Arthur était fier de lui et souriait longuement à son maître, après tout c’était grâce à lui qu’il avait pu marcher jusqu’à la victoire. Son adversaire le regarda et alla lui demandait ce qu’il voulait en récompense de sa victoire, Arthur avec un grand sourire sur les lèvres lui dit qu’il ne voulait que son amitié, étonné, Hector finit par accepté et ce fut une réjouissance parmi les quatre présents qui allèrent finalement finir la journée ensemble joyeusement.

Arthur ne put s’endormir rapidement, trop excité et joyeux de sa journée, il était reste pas moins d’une heure dans son lit bien douillet sans pouvoir dormir quand finalement il décida d’aller à la fenêtre, observant les rues de dehors, il n’y avait presque plus personne, quelques trois fêtards rentrant chez eux et puis c’est tout. Arthur regarda alors le ciel, d’une étrange beauté, ce ciel l’apaisait, ces étoiles qui brillait dans ce ciel si sombre, leur éclat était magnifique, il resta là, à contempler ce merveilleux ciel pendant presque une heure, il dut s’arrêter lorsque il ressentit la fatigue après avoir bailler un long moment. Il alla donc finalement dans son lit bien douillet qui l’attendait et ferma rapidement les yeux avant de s’endormir. Il dormit toute la nuit d’un sommeil lourd et agréable, un sommeil reposant qu’on aurait aimé revivre chaque nuit …
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MessageSujet: Re: Arthorius...   Arthorius... Icon_minitimeMar 8 Juil - 20:23

Le lendemain matin, il fut réveiller par des bruit à sa porte, quelqu’un voulait le réveiller apparemment, il se leva, et alla ouvrir, une jeune fille pas plus vieux que lui était devant, vêtu d’une toge blanche, elle l’informa que le maître de cette maison voulait lui parler. Il approuva et commença à sortir de sa chambre quand elle lui proposa avant de s’habiller un peu mieux avec un sourire aux lèvres, Arthur se regarda, en effet il n’était vêtu que de son pantalon, il sourit bêtement, d’un air totalement désolé, il avait presque honte de sa stupidité actuelle, il referma légèrement sa porte et s’habilla correctement en entendant un ou deux petit rire de la jeune fille qui attendait devant la porte. Une fois prêt, il ouvrit la porte et déclara qu’il était prêt à la suivre, elle lui dit donc de la suivre et tout deux partirent en direction du maître des lieux qui voulait parler à Arthur.

Pendant tout le court trajet, elle lui posa des questions, lui n’y faisait qu’y répondre encore un peu surpris de ce réveil et de ces questions. Ils arrivèrent dans une grande salle, un haut plafond décoré par une peinture magnifique représentant une ancienne bataille, des colonnes blanches, des murs en marbre blancs également, des bibliothèques remplis de livres, au fond un bureau, pendant qu’il se dirigeait vers ce bureau où se trouvait le maître des mieux, il regarda à sa droite et à sa gauche, de nombreux jardin fleurissant, il entendait ses pas résonner dans cet immensité, la fille semblait être juste derrière lui, l’accompagnant encore. Une fois arrivé devant le bureau, le maître des lieux l’observa, il congédia la jeune fille et se leva pour commencer à parler avec Arthur, il fit quelque pas et commença :

Jeune homme, j’ai une nouvelle à vous annoncé.

Il fit quelques pas, invitant Arthur à le suivre, il se dirigeait vers l’un de ses jardins, on voyait bien qu’à la fin de ce jardin, une immense étendue de vert se voyait, une plaine, et au loin une montagne. L’homme un peu grassouillet le regarda et lui dit :

Votre maître est parti et m’a confier votre garde.

Arthur voulu poser une question, mais il se disait qu’il ne fallait pas l’interrompre, il fit néanmoins une tête qui disait tout : pourquoi ? L’homme à ses côtés sourit un moment puis continua :

Il m’a dit que le meilleur pour vous était de partir avec moi, en effet je pars vers ces montagnes, une ville s’y trouve, une ville où mes meilleurs combattant se retrouvent pour le tournoi annuel. Il m’a conseillé de t’y emmener afin que tu évolue plus dans ton art du combat.

Arthur fut surpris d’entendre cette phrase, son maître l’avait laissé afin qu’il s’améliore encore un peu plus. Mais pourquoi n’y était-il pas aller tout les deux ? Il n’eu aucune réponse à cette question, peut-être avait-il autre chose à faire, de plus important que lui, c’était évident, après tout Arthur n’était qu’un enfant, cela devait être ça, pourtant Arthur tenait à son maître, après tout il lui avait sauvé la vie et lui avait appris tout ce qu’il savait … Comme si le maître des lieux avait lu dans ses pensées il rajouta :

Il m’a dit qu’il viendrait te voir lors de ce tournoi, en cet instant présent, il doit faire une chose plus importante.

Arthur sourit alors, heureux de le savoir. Il regarda les lointaines montagnes et sourit, c’était donc la-bas qu’il allait revoir son maître. Il sourit et suivit donc le maître des lieux qui rentra alors vers son bureau, il lui dit qu’il pouvait le laisser et repartir vers de nouvelles activités le temps de se préparer à ce voyage. Le jeune homme se dirigea donc vers la sortie, il alla d’abord vers sa chambre, histoire de récupérer son arme. Il y arriva lentement et prit son sabre, il prit le temps de s’asseoir sur son lit et contempler son sabre, un sabre offert par son maître. Il leva la tête pour voir la jeune fille qui l’avait réveillé à sa porte, l’observant, caché derrière le mur, seule sa tête dépassait. Leurs regards s’entrecroisèrent et elle partit en courant. Arthur fut étonné de sa réaction, il courut vers la porte et regarda dans la direction où elle fut parti, il la voyait encore courir, il se demandait encore pourquoi elle avait réagit comme ça. Elle disparu finalement de sa vision et il retourna sur son lit à se demander pourquoi une telle réaction. Finalement il s’allongea et se perdit dans ses pensées avec un regard vers le ciel et le plafond de sa chambre …

Il fut sorti de ses pensées par une femme, plus âgé que la première qui l‘informa que l’heure du départ était arrivé. Il se leva donc la remerciant gentiment, il se dirigea donc vers la sortie en se demandant pourquoi ce n’était pas la même que tout à l’heure qui était venu le chercher … Mine de rien il s’y était attaché au premier coup d’œil et aimerait bien la revoir …. Néanmoins il partit avec le convoi se demandant où elle se trouvait. Un convoi de marchand, et oui cet homme grassouillet était un marchant, et s’il allait dans la ville montagneuse c’était pour son commerce, en effet les gens s’y regroupaient en masse, quoi de mieux pour un marchand ?

Le convoi parti et l’une des missions pour Arthur était de protéger ce convoi, il prouverait ainsi sa valeur et s’entraînerait par la même occasion. Il se plaça donc tout à l’arrière et voyait ainsi le chemin qui défilait. Il regardait le sol sans vraiment le regarder, car ses yeux furent voilé par une image qui occupait son esprit, celle de cette jeune fille du même âge que lui, il se demandait d’une pourquoi une telle réaction, et surtout, allait-il la revoir ? Il se le demandait encore et encore, pourquoi elle occupait tant son esprit ? Il ne l’avait vu que deux fois et ne lui avait parler qu’une fois …… Il fut sorti de ses pensées lorsque il remarqua que le convoi était déjà dans les plaines et surtout lorsqu’il entendit un cri venant d’une femme se trouvant un peu plus en avant dans le convoi. Il sauta alors de sa place et alla voir, la femme lui montra avec horreur, le premier convoi de ce même homme avait été attaqué, Arthur couru pour aller voir, il vit des chariots détruits, des hommes et femmes griffés ou mordu parfois les deux, en somme, tout ce qui faisait penser à une attaque d’animaux sauvage.
Il couru voir et vu avec un sentiment extrême, de la joie, tristesse et de la haine montaient en lui. Pourquoi de la joie, la revoir l’explique, pourquoi la tristesse, dans cet était l’explique, pourquoi la haine, les responsables l’expliquent …. Il s’agenouilla à ses côtés et la prit dans ses bras, il la regardait. Elle avait le souffle court, les yeux fermés, des plaies sur son corps, Arthur l’a prit dans ses bras et la porta jusqu’au second convoi, il l’amena et demanda qu’on la soigne, deux femmes arrivèrent et déclarèrent qu’elles s’en occupaient.

D’un autre côté, le marchand vint vers Arthur et lui déclara dans un demi souffle ( il venait du milieu du convoi ) que d’autre des bêtes sauvages arrivaient, surement les mêmes qui avait attaqué le premier convoi. Arthur les regarda arrivé. La haine montait en lui, il dégaina son sabre et les attendit en marchant un peu vers leur direction. Il était emplie d’une haine intense envers ces créatures, ces créatures responsables de l’état de cette jeune fille qui occupait son esprit depuis si longtemps. Il les attendais de pieds ferme, sabre à la main prêt à les découper, chacun leur tous ou bien tous en même temps, mais dans tout les cas, aucun ne s’en sortirait vivant, Arthur portait une haine trop grande envers eux.

L’une arriva finalement en sautant, crocs pointés et gueule ouverte prêt à balafrer Arthur, ce dernier fit un pas sur le côté et découpa horizontalement cette bête, la dépouille était retombé sur le sol et on pouvait voir la partie supérieure et inférieure du corps séparées et sa lame était ensanglantée. Il regarda les autres arrivés, de la même façon que le premier, il en regarda un d’un regard neutre, se décala à nouveau pour un tranché un et esquiva un deuxième avant de se tourner pour le suivre, deux bêtes foncèrent sur lui un devant, l’autre derrière. Il mit en genoux à terre et fit tourner sa lame dans les airs tranchant ainsi la tête de ces bêtes haïs. Encore trois le regardait, à l’affût, sur leur gardes et prêt à bondir, Arhur les regardait du coin de l’œil, un à un, regardant chacun de leur mouvement, d’un moment ou un autre l’un d’entre eux allait passer à l’attaque et les deux autres allaient suivre juste après. Le premier arriva en courant, gueule ouverte, elle n’aurait pas du l’être car Arthur lui enfonça sa lame dedans lui perforant tout sur son passage. Il retira sa lame de la gueule de cette créature quadrupèdes et attendit les deux autres, l’un arriva juste derrière le cadavres de la quatrième dépouille. Arthur sauta vers cette bête immonde en se servant du corps tombant de sa dernière victime et alla embrocher la tête de l’animal qui arriva, la lame se planta d’ailleurs profondément dans le sol emprisonnant le corps sans vie de l’avant dernière créature responsable de l’état de cette jeune fille et du massacre du premier convoi. La dernière fonça vers Arthur qui peinait un peu à retirer son sabre, la voyant arriver, il n’eut pas le choix, il attrapa alors la gueule et la brisa avant de lui briser la nuque, il n’avait qu’une légère griffure à son bras droit, rien de grave. Il venait de tuer six créatures à lui tout seul, et il en était presque content, d’ailleurs la haine venait de s’évanouir, il réussit à récupérer son arme planté dans le sol, défaisant le sang dont elle était recouverte et la rangea dans son fourreau.

Il retourna au convoi où il eut quelques félicitations et quelques étonnement, il n’avait pas une goutte de sang sur lui et semblait à peine essoufflé, son entraînement était donc presque parfait. Il retourna voir cette jeune fille pour qui il avait eu cette haine envers les responsables, peu à peu il se rendait compte qu’il l’aimait. Il alla donc la voir et la vit avec étonnement déjà réveiller, elle lui sourit doucement et lui également, ils se regardèrent un moment avant de voir le maître passé pour aller à l’avant du convoi pour redonner le départ. La jeune fille le regardait attentivement quand elle vit qu’il était blessé au bras, elle prit l’un de ses foulard blanc et le mis autour de cette blessure après l’avoir doucement soigné. Arthur la remercia doucement avant de s’asseoir près d’elle et ainsi parler un peu plus tout les deux pendant que le convoi reprenait sa route vers la ville où le tournoi allait se dérouler.
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MessageSujet: Re: Arthorius...   Arthorius... Icon_minitimeLun 14 Juil - 18:08

je vais partir en vacance donc sa arrivera surement plus tard, dsl
j'éditerais ce post pour la suite ^^
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